Ces jours derniers, j’ai eu le bonheur d’accueillir une de mes amies du Conservatoire de Varsovie, excellente actrice, professionnellement toujours très active. C’est la première fois qu’elle venait à Paris.
J’ai souhaité qu’elle puisse assister à un spectacle de bonne qualité en allant voir Les Femmes savantes de Molière au Théâtre 14 – Jean-Marie Serreau, dans la mise en scène d’Arnaud Denis.
La maîtrise de la langue française de mon amie a ses limites. Et, avant de s’envoler de Varsovie, elle ne disposait que d’une traduction en polonais – Uczone białogłowy. D’accord avec mon projet, désireuse d’assister prochainement à Paris à un vrai spectacle en français, elle avait passé une partie de la nuit à en relire le texte et à s’imprégner de sa progression. Elle s’est néanmoins rendue au théâtre avec une certaine appréhension, craignant de ne pouvoir s’y repérer, ne pas y comprendre grand-chose et rester deux heures pour rien sur son siège.
Dès le lever du rideau et jusqu’à la fin, elle a été saisie par le jeu des comédiens, par la mise en scène et par le décor. Elle a été enchantée – une des premières à applaudir très chaleureusement. Sans bien sûr pouvoir apprécier toutes les nuances verbales, elle a saisi l’essentiel de ce qui transparaissait dans le jeu : elle a été conquise.
Entouré d’une jeune troupe dont il a formé la plupart des membres – y compris le metteur en scène qui tient également le rôle de Trissotin – mon ancien professeur, Jean-Laurent Cochet, joue celui de Philaminte, la mère des deux jeunes femmes, Henriette et Armande. Est-il besoin de souligner qu’un tel spectacle démontre de façon simple et grâce à un excellent travail à partir d’un texte qui n’a rien de mièvre, que l’on peut encore de nos jours émouvoir un public qui en gardera un souvenir durable ?
C’est parce que j’avais pu voir cette pièce quelques jours auparavant et que j’en avais été moi-même enchantée que j’ai senti qu’elle plairait à mon amie Jola. Je suis particulièrement heureuse qu’elle partage mes impressions – elle, ainsi que plusieurs de mes proches qui sont de la même opinion. Ne perdez pas de temps – allez-y – on joue ce spectacle jusqu’au 24 octobre !
J’ai souhaité qu’elle puisse assister à un spectacle de bonne qualité en allant voir Les Femmes savantes de Molière au Théâtre 14 – Jean-Marie Serreau, dans la mise en scène d’Arnaud Denis.
La maîtrise de la langue française de mon amie a ses limites. Et, avant de s’envoler de Varsovie, elle ne disposait que d’une traduction en polonais – Uczone białogłowy. D’accord avec mon projet, désireuse d’assister prochainement à Paris à un vrai spectacle en français, elle avait passé une partie de la nuit à en relire le texte et à s’imprégner de sa progression. Elle s’est néanmoins rendue au théâtre avec une certaine appréhension, craignant de ne pouvoir s’y repérer, ne pas y comprendre grand-chose et rester deux heures pour rien sur son siège.
Dès le lever du rideau et jusqu’à la fin, elle a été saisie par le jeu des comédiens, par la mise en scène et par le décor. Elle a été enchantée – une des premières à applaudir très chaleureusement. Sans bien sûr pouvoir apprécier toutes les nuances verbales, elle a saisi l’essentiel de ce qui transparaissait dans le jeu : elle a été conquise.
Entouré d’une jeune troupe dont il a formé la plupart des membres – y compris le metteur en scène qui tient également le rôle de Trissotin – mon ancien professeur, Jean-Laurent Cochet, joue celui de Philaminte, la mère des deux jeunes femmes, Henriette et Armande. Est-il besoin de souligner qu’un tel spectacle démontre de façon simple et grâce à un excellent travail à partir d’un texte qui n’a rien de mièvre, que l’on peut encore de nos jours émouvoir un public qui en gardera un souvenir durable ?
C’est parce que j’avais pu voir cette pièce quelques jours auparavant et que j’en avais été moi-même enchantée que j’ai senti qu’elle plairait à mon amie Jola. Je suis particulièrement heureuse qu’elle partage mes impressions – elle, ainsi que plusieurs de mes proches qui sont de la même opinion. Ne perdez pas de temps – allez-y – on joue ce spectacle jusqu’au 24 octobre !