Reproduction de l'affiche
aimablement communiquée par la troupe
pour utilisation dans cet article de blog.
Comme chaque année, je me suis rendue à Avignon pour goûter
quelques mets du théâtre Off.
Cette année le Festival a démarré dans la tension, et plutôt
perturbé par les manifestations des intermittents du spectacle. Et comme quelques
troupes d’Off se joignaient au mouvement, je n’ai pas pu voir certains
spectacles qui m’ont semblé attirants. Alors, j’ai assisté à des spectacles « tirés
au hasard » ou conseillés par des spectateurs, diffusant de « bouche
à l’oreille » les titres des pièces intéressantes et de bonne qualité.
En se produisant dans des lieux d’accueil qui m’ont déjà
convaincue l’année dernière, je suis allée, pendant ce court séjour dans la
capitale des Papes, voir des spectacles et réjouir mes yeux.
Ce que j’ai vu, de genres différents, dont le thème varie
aussi, m’a permis d’apprécier la pièce autant que le travail de ses
interprètes.
Il semble, que cette année le sujet des pièces du Festival
Off s’intéresse aux problèmes du couple, du
bonheur, des problèmes de société : il y a des histoires d’amour, de
trahison ou de divorce.
Tout près de mon hôtel, au Théâtre Notre Dame j’ai assisté à
un spectacle chanté en « Hommage à Serge Reggiani », interprété par
Olivier Nunge et accompagné de deux musiciens : au violoncelle par Fanny
Piquet et à l’accordéon par Guilhem Verger. La vie de Reggiani chantée et
racontée par le comédien, Olivier Nunge, se déroule d’une manière agréable, non
dépourvue d’humour, et ses belles chansons, qui dans des années 60, faisaient partie
des « tubes », touchent encore aujourd'hui par leur humanité.
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